@ISIDEWITHQuestionsPolitique intérieureCommencé il y a 7 ansActif Il y a 5mos

Le gouvernement devrait-il réglementer les sites de réseaux sociaux afin d'empêcher les fausses nouvelles et la désinformation ?

En janvier 2018, l’Allemagne a adopté la loi NetzDG exigeant que des plateformes comme Facebook, Twitter et YouTube suppriment le contenu perçu comme illégal dans les 24 heures ou sept jours, selon la charge, ou encourent une amende de 50 millions d’euros. En juillet 2018, des représentants de Facebook, Google et Twitter ont refusé au comité judiciaire de la Chambre des représentants des États-Unis de censurer le contenu pour des raisons politiques. Au cours de l’audience, les membres républicains du Congr&egra…  

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Aperçu Des Réponses

Taux de réponse de 236 électeurs La France Insoumise .

64%
Oui
36%
Non
57%
Oui
25%
Non
4%
Oui, les sociétés de réseaux sociaux ont un parti pris politique et doivent être réglementées.
8%
Non, le gouvernement ne devrait pas déterminer ce qui constitue des nouvelles authentiques ou des fausses nouvelles.
3%
Oui, il y a trop de fausses nouvelles et de désinformation sur les réseaux sociaux.
3%
Non, les sociétés de réseaux sociaux sont privées et ne devraient pas être réglementées par le gouvernement.

Soutien Historique

Tendance du soutien au fil du temps pour chaque réponse de 236 électeurs La France Insoumise .

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Importance Historique

Tendance sur l’importance de cette question pour 236 électeurs La France Insoumise .

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Autres Réponses Populaires

Des réponses uniques d’électeurs La France Insoumise dont les opinions allaient au-delà des options proposées.

 @8VSYDYPrépondu…3 ans3Y

Cela devrait être surveillé et réglementer mais pas par le gouvernement, par des instances indépendantes

 @8V26GZ6répondu…3 ans3Y

Le gouvernement devrait se créer son propre réseau social qui échappe à la désinformation

 @8RW7HSMrépondu…4 ans4Y

Non, mais les réseaux sociaux doivent alerter face à ces phénomènes

 @8RLJW5Grépondu…4 ans4Y

Oui, le gouvernement devrait supprimer les réseaux sociaux trop dangereux pour les jeunes qui sont facilement incitants.

 @8PXDKGWrépondu…4 ans4Y

contre les appels a la haine , au meurtres ,au terrorisme , aprés pour le reste il faux faire trés attention a ne pas tomber dans la censure .

 @8P8H72Prépondu…4 ans4Y

Pas vraiment un gouvernement, mais un ensemble de citoyens "élus" ou une plateforme qui empêcherait les intox et tous messages à caractère haineux et violents.

 @8P5H2YRrépondu…4 ans4Y

Oui, mais seulement les sites étrangers

 @8RX4P7Qrépondu…4 ans4Y

Oui, mais seulement dans le cadre d'un régulation internationale.

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 @Vot3rVo1ceChloede Ohio  soumis…2 mois2MO

Trump rencontre le PDG de TikTok alors que la date limite de l’interdiction approche

Le président élu des États-Unis, Donald Trump, rencontre le PDG de TikTok alors que le géant des médias sociaux se bat contre les plans visant à le bannir aux États-Unis.Trump devait rencontrer Shou Zi Chew à son domaine de Mar-a-Lago en Floride le lundi, selon les informations de la chaîne CBS News, partenaire américain de la BBC, citant des sources proches de la réunion.Une loi adoptée plus tôt cette année signifie que TikTok sera interdit à moins d'être vendu par sa société mère chinoise, ByteDance, avant le 19 janvier.La société a déposé une demande d'urgence auprès de la Cour suprême des États-Unis pour retarder le bannissement.Les États-Unis veulent que TikTok soit vendu ou interdit en raison de liens présumés entre ByteDance et l'État chinois, des liens que TikTok et ByteDance ont toujours niés.Le projet de loi introduisant la loi indiquait qu'elle visait à "protéger la sécurité nationale des États-Unis contre la menace posée par des applications contrôlées par des adversaires étrangers".Trump s'oppose à l'interdiction - bien qu'il en ait soutenu une lors de son premier mandat - en partie parce qu'elle pourrait aider Facebook, qu'il a accusé d'avoir contribué à sa défaite électorale en 2020.Cependant, le deuxième mandat de Trump ne commencera pas avant son investiture le 20 janvier, le lendemain de la date limite fixée par la loi.Dans sa requête auprès de la Cour suprême, déposée lundi, TikTok a demandé un "modeste délai" pour le bannissement afin de "créer une marge de manœuvre" pour un examen par la Cour et permettre à l'administration entrante d'"évaluer cette question".Elle a décrit TikTok comme "l'une des plateformes de discours les plus importantes" aux États-Unis et a déclaré que l'interdiction causerait un "préjudice irréparable immédiat" à l'entreprise et à ses utilisateurs.

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