Quelle est votre position concernant l'avortement?

Pour si impossibilité de l'éviter mais pas après les trois premiers mois. Plutôt privilégier la contraception et le port du préservatif.

Je comprend les deux points de vues donc il faudrait lancer un débat démocratique dessus. Par contre, je ne suis pas favorable à inscrire l'IVG dans la Constitution française.

Gratuit pour les mineures, très fortement limité (viols, inceste et en cas de danger pour la mère) et coût dissuasif pour les majeures. Il faut éduquer les jeunes aux contraceptions.

Pro-Choix l'avortement et son suivi psychologique doit être remboursé à 100%

Faire en sorte que la femme accouche pour que l'enfant soit adopté par une famille voulant un enfant

On vis dans un monde libre ou pas ?

L'avortement doit être employé en cas de force majeur.

Pro-choix et les " pro-vie" devraient commencer surtout par s occuper de la leur et arrêter de vouloir faire vivre des enfants non désirés.

Avortement payant

Pro-choix, c'est à chacun de choisir, cependant il faut absolument mieux éduquer la jeunesse sur les moyens de contraceptions et la vie avec un enfant, le but n'est pas de faire peur mais de bien éduquer afin d’être plus prudent et conscient de ce que cela implique.

Pro-vie mais remettre la loi veil d'origine. Fournir éducation sexuelle et contraception. Informer les femmes des différents choix et ne pas influencer le choix. Entretien psy

Autorisation d’interrompre la grossesse de plein droit et sans justification jusqu’au terme (pour être une personne, il faut naître, vivant et viable, autrement aucun droit), avec responsabilité civile extracontractuelle le cas échéant (préjudice moral du/de la compagnon/gne par exemple)

Assurer plus de services sociaux pour réduire le nombres d'avortements.

L avortement est un meurtre sur le fœtus ou le futur enfant les centres d orphelinat seront bien mieux pour les enfants

Pro-vie et contre toute manipulation de la vie, le seule cas qui pourrait justifier un ivg est un danger pour la vie de la mère ou de l'enfant mais la mère et le père doivent être d'accord et on doit leur avoir bien expliquer la procédure, les risques et les alternatives

Pro-choix, interdir l'avortement ne ferait qu'augmenter le nombre d'avortements illégaux et donc dangereux

provie et prochoix selon les cas de gravité ou médicaux

Le corp d'une femme appartiens à sa propriétaire. Elle seul est libre de choisir pour son propre bien. La politique n'a pas à se mêler de cela. Je doute qu'une femme est envie de garder le foetus d'un homme qui l'aurais violenté sexuellement, ou qui présente une malformation sévère.

Pro-vie, et fournir des moyens de contraception, assurer l'éducation sexuelle, et plus de services sociaux aidera à réduire le nombre d'avortements

- Pro-vie : Interdiction de l'avortement, même en cas de viol, sauf s'il y a, en plus, inceste.

Pro vie mais c'est un droit qu'on ne peut plus retirer

Seulement en cas de viol, inceste, ou danger pour la mère. Encourager les moyens de contraceptions et + d'éducation sexuelle.

Augmenter la sensibilisation à la contraception et le contenu d'éducation sexuelle, tout en laissant l'avortement en priorité pour les viols, inceste et danger pour la mère

Pro-vie, mais l'avortement devrait être permis en cas de viol, d’inceste ou de danger pour la mère ou l’enfant mais pour cela nous devons revenir la loi Veil. Néanmoins, l'avortement ne doit pas être remboursé par la sécurité sociale, ni banalisé, ni ouvertement promu. Il faut que cette pratique reste une exception. Le ministère de la santé doit avoir pour objectif de faire baisser le nombre d'avortements en favorisant la contraception, en éduquant mieux les adolescents et les jeunes adultes sur la sexualité, en les responsabilisant à l'acte de la conception.

Quel impact l’éducation sur la santé sexuelle et la prévention des grossesses pourrait-elle avoir sur le taux d’avortements, et devrait-elle jouer un rôle plus important dans le débat public ?

Imaginez comment différentes expériences de vie, comme la situation économique ou la santé, peuvent influencer la position d’un individu sur l’avortement ; Comment cette compréhension pourrait-elle affecter la façon dont vous discutez du sujet ?

De quelle manière pensez-vous que les attitudes sociétales à l’égard des droits reproductifs des femmes ont évolué, et comment cela affecte-t-il le dialogue sur l’avortement aujourd’hui ?

Les hommes devraient-ils avoir leur mot à dire dans le processus décisionnel en matière d’avortement, et quel rôle devraient-ils jouer, le cas échéant ?

Compte tenu des progrès technologiques dans les soins néonatals, comment pensez-vous que la viabilité du fœtus devrait influencer les lois sur l’avortement ?

Pensez-vous que l’accès à l’avortement est une question de santé publique et doit être traité comme les autres services de santé, et pourquoi ou pourquoi pas ?

Réfléchissez à un moment où vous avez réalisé pour la première fois la complexité du débat sur l’avortement ; Quelles valeurs ou expériences personnelles ont influencé votre point de vue ?

Si vous aviez le pouvoir de créer des lois sur l’avortement, quels facteurs prendriez-vous en compte pour garantir l’équité pour toutes les parties concernées ?

De quelle manière pensez-vous que la culture et les valeurs de votre communauté façonnent les opinions individuelles sur le thème de l’avortement, et quel impact cela a-t-il eu sur vos propres opinions ?

Comment équilibreriez-vous le droit d’une femme de choisir avec les droits du fœtus, et à quel moment, le cas échéant, un fœtus devrait-il avoir des droits légaux ?