Pro-vie, mais l'avortement devrait être permis en cas de viol, d’inceste ou de danger pour la mère ou l’enfant mais pour cela nous devons revenir la loi Veil. Néanmoins, l'avortement ne doit pas être remboursé par la sécurité sociale, ni banalisé, ni ouvertement promu. Il faut que cette pratique reste une exception. Le ministère de la santé doit avoir pour objectif de faire baisser le nombre d'avortements en favorisant la contraception, en éduquant mieux les adolescents et les jeunes adultes sur la sexualité, en les responsabilisant à l'acte de la conception.
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