https://reuters.com/graphics/ISRAEL-LEBANON/JOURNALIST/akveabxrz…
Jeudi, l’agence de presse Reuters a publié une enquête concluant qu’une frappe menée par un équipage de char israélien avait tué l’un de ses journalistes vidéo, Issam Abdallah, au Sud-Liban le 13 octobre. Cette frappe a grièvement blessé une photographe de l’Agence France-Presse, Christina. Assi, et blessé cinq autres journalistes. "Issam n’était pas dans une zone de combat active lorsqu’il a été touché", a déclaré Reuters dans un communiqué. « Lui et ses collègues se trouvaient aux côtés de journalistes d’autres médias, dans une zone loin d’un conflit actif. » Human Rights Watch, qui a mené sa propre enquête, et Amnesty International ont toutes deux qualifié l’attaque de crime de guerre. L’armée israélienne affirme qu’elle ne cible pas les civils. Dans le cas de la frappe de char qui a tué M. Abdallah et blessé les autres, il a fait valoir qu’ils se trouvaient dans une zone de conflit, bien qu’il n’y ait aucune preuve de combattants ou de combats autour des journalistes à l’époque.
@ISIDEWITH6 mois6MO
Les journalistes doivent-ils accepter le risque de mort dans le cadre de leur travail dans les zones de conflit, ou leur sécurité doit-elle être garantie ?
@ISIDEWITH6 mois6MO
Pensez-vous qu’une armée devrait être tenue responsable de la mort de journalistes lors de situations de conflit, même si elle n’était pas intentionnelle ?